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Implication d’Israël, délits d’initiés, pré-connaissance des attentats : découvrez en images et en mots le dossier constitué par Panamza au sujet de la mystification du 11-Septembre.
Le 13.09.2015 à 22h33
Chaque année, à la date du 11 septembre, c’est la même mise en scène : une minute de silence a lieu sur la pelouse de la Maison Blanche. Tel fut encore le cas vendredi dernier.
Détail digne d’une macabre farce : ce vendredi, une cérémonie similaire se tenait également aux abords de Jérusalem, associant le régime israélien et l’ambassadeur américain.
14 ans après le premier évènement du XXIème siècle retransmis mondialement en direct, ce mensonge d’Etats perdure.
Panamza vous propose aujourd’hui de découvrir un florilège d’enquêtes et de vidéos, réalisées par l’auteur de ces lignes depuis 2008 et relatives à la grande mystification israélo-américaine du 11-Septembre.
Attentat sous faux drapeau. Jeudi, le ministère américain de la Justice a annoncé l’arrestation de Joshua Ryne Goldberg, pseudo-djihadiste accusé de «diffusion d’informations relatives à des explosifs, des engins de destruction et des armes de destruction massive».
Joshua Ryne Goldberg, citoyen juif américain âgé d’à peine 20 ans, a été interpellé dans la ville d’Orange Park en Floride et encourt 20 années de prison, a indiqué le ministère américain de la Justice dans un communiqué mis en ligne jeudi 10 septembre.
Interrogé par une chaîne de télévision locale, son père, dénommé Frank Bennett Goldberg, affirme tomber des nues.
Vivant reclus chez ses parents, Joshua Ryne Goldberg avait créée plusieurs comptes Twitter imputés à des partisans de Daesh afin d’encourager des passages à l’acte terroriste auprès de ses lecteurs. Mauvaise pioche: l’un d’entre eux -avec lequel il avait « conspiré » depuis deux mois selon l’enquête judiciaire disponible en ligne– était un informateur du FBI.
Sous pseudonyme, le jeune homme se vantait notamment d’être à l’origine d’une tentative d’attentat commise à Garland (Texas), en mai dernier, lors d’un concours de caricatures du prophète de l’islam.
«J’ai dédié ma vie à traumatiser les infidèles et à coordonner des actes de djihad à travers le monde. Les juifs sont les pires ennemis d’Allah. Quand l’islam aura conquis l’Australie, tous les juifs seront massacrés comme les sales cafards qu’ils sont», avait également affirmé -via Internet et sous sa fausse identité d’islamiste australien- Joshua Ryne Goldberg.
Ce dernier incitait également à s’attaquer à des synagogues afin de faire le «maximum» de victimes parmi les fidèles.
D’après les enquêteurs du FBI, le jeune homme a enfin tenu plusieurs versions contradictoires après son arrestation : dans l’une d’elles, il disait avoir eu l’intention de dénoncer le pseudo-terroriste avec qui il était en communication, avant que l’attentat de Kansas City ne soit perpétré.
Coïncidence ironique : cette affaire éclate 14 ans, jour pour jour, après le 11-Septembre, vaste opération de mystification américano-sioniste dont l’une des phases se déroula également en Floride. Entre 2000 et 2001, ceux qui seront désignés plus tard comme les « pirates de l’air » du 11-Septembre vivaient alors dans des petites localités de Floride. Leurs voisins de quartier tout au long de leurs périples sur le sol américain : des agents du renseignement israélien (Mossad et Aman). Mais ceci relève d’une autre histoire : si Joshua Ryne Goldberg n’a certainement pas le profil d’un agent secret lié à Tel Aviv (mais davantage celui, plus psychopathologique, d’un Ulcan), il illustre parfaitement la pratique -coutumière du régime israélien depuis 1948- de l’attentat sous fausse bannière.
Reste désormais à savoir si d’autres prétendues revendications djihadistes n’émanent pas de profils similaires -isolés ou étatiques- à celui de Goldberg.
Rapporter la mention de l’homme d’affaires Pierre Bergé -nommément évoqué- dans une enquête judiciaire sur l’existence possible de réseaux pédophiles au Maroc peut vous conduire au tribunal. Tel est mon cas.
Le 17 juin, deux policiers s’étaient expressément déplacés à mon domicile pour me convoquer -le lendemain, à leur bureau- afin de me notifier formellement de ma « première comparution » au tribunal pour cette affaire.
L’impunité et l’opacité relatives à une investigation policière de 18 mois, menée en 2011/2012 par la Brigade de protection des mineurs de Paris et finalement classée sans suite, à propos de l’implication de Français dans des réseaux pédophiles au Maroc. Interrogé par les enquêteurs, un prêtre -également sollicité ultérieurement par le magazine VSD– affirma ainsi avoir recueilli le témoignage de « parents de jeunes victimes » à Marrakech lors de ses séjours touristiques en 2003 et 2007. D’après lui, des faits de « prostitution de mineurs » se seraient déroulés dans la luxuriante villa Majorelle, propriété (depuis 1980) d’Yves Saint Laurent (décédé en 2008) et de Pierre Bergé.
* Le 21 janvier 2014, il « organisa », au sein de sa propre fondation, la soirée de l’association (membre du Crif) des Amis français du musée d’Israël de Jérusalem. Parmi les convives : Nicole Guedj, présidente de la Fondation France-Israël qui compara, comme l’avait révélé l’auteur de ces lignes, le Quai d’Orsay à une « maison bourrée d’Arabes déguisés ».
Nulle surprise que l’homme influent qui envoie Panamza en justice soit non seulement un donateur méconnu des soutiens d’Israël mais également une figure tutélaire du Parti socialiste dont l’actuel tandem exécutif (François Hollande et Manuel Valls) a souvent été embarrassé par les nombreuses révélations du site (d’ailleurs ciblé actuellement par des attaques informatiques anonymes) à leur sujet.
Pourvoyeur financier de SOS Racisme et patron –intrusif– de presse (Le Monde, l’Obs, Rue89), celui qui incarna le visage emblématique de la « gauche caviar » des années 80/90 sera défendu, dans le procès qu’il m’a intenté, par Emmanuel Pierrat, franc-maçon féru du marquis de Sade, ex-conseiller municipal apparenté PS et militant engagé en faveur d’une « liberté d’expression » à géométrie variable (pour celle de Charlie Hebdo et Michel Houellebecq, contre celle de Dieudonné).
En s’en prenant aux journalistes et aux blogueurs qui ont rapporté factuellement une information incontestable -la mention du patronyme de Pierre Bergé dans une enquête policière relative aux réseaux pédophiles franco-marocains, Pierre Bergé a oublié « l’effet Streisand » : quiconque tente d’occulter un fait ou une image court le risque, ce faisant, de faire propager -à son insu et via les réseaux sociaux- sa connaissance.
Le tribunal ne se prononcera pas sur le fond (l’enquête policière rapportée par VSD) et il reviendra aux chercheurs indépendants de se pencher sur un sujet visiblement embarrassant pour le multimillionnaire tant redouté -ou choyé- par les médias traditionnels.
Dont acte.
Panamza lance aujourd’hui un appel à ses lecteurs : toute information d’intérêt public relative au tandem Bergé-Saint Laurent en général et son rapport au Maroc en particulier sera la bienvenue. Tout élément factuel -à charge comme à décharge- sera exploité, vérifié, recoupé.
Et peu importera la posture victimaire adoptée par Pierre Bergé : l’homme en est coutumier.
Tel fut ainsi le cas face à deux animateurs -complaisants à son endroit- du service public audiovisuel : Anne-Sophie Lapix et Patrick Cohen.
Sollicité sur son sentiment à l’égard du somptueux film Saint Laurent de Bertrand Bonello, Bergé n’a pas hésité à le dénigrer en usant -sans rire- du terme « homophobe » pour le qualifier.
La cause d’une telle outrance digne d’un sioniste qualifiant d’« antisémite » tout détracteur? Le réalisateur a dépeint Bergé en personnage froid, intrigant, menaçant et cupide.
Bertrand Bonello avait d’ailleurs lui-même été « harcelé au quotidien » par Bergé et ses avocats durant la phase de pré-production du film.
Panamza continuera d’enquêter sur Pierre Bergé et ses connexions marocaines remontant à un demi-siècle.
1967 : un an après leur découverte enthousiaste du Maroc, l’éditeur Claude Tchou (spécialisé dans les livres rares, érotiques et ésotériques) publie un étrange ouvrage, signé Yves Saint Laurent et réédité en 2003 (puis en 2010). En voici sa présentation officielle par la Fondation dirigée aujourd’hui par son compagnon :
La Vilaine Lulu est une bande dessinée humoristique pour adultes créée par le couturier, en 1956 alors qu’il travaille chez Christian Dior. Publiée pour la première en fois en 1967 aux éditions Tchou, elle met en scène une petite fille cruelle qui déborde d’imagination pour accomplir les pires méfaits.
Une « BD humoristique pour adultes »? Ce n’est pas ce qu’en disait l’éditeur quand il présenta -en 1967- le livre comme un recueil de « contes pour enfants sadiques ou avancés ».
Vanity Fair souligna que des planches de la BD firent scandale en 2010, à l’occasion d’une exposition consacrée à son auteur. Selon le magazine, des « conspirationnistes chrétiens » avaient dénoncé son inspiration « sataniste » tandis que d’autres avaient évoqué un « manifeste pédophile ».
Ce fut également en 2010 qu’une biographie non autorisée de Saint Laurent présenta celui-ci comme un personnage « machiavélique » selon Le Monde.
Pour Lulu, le magazine Elle n’a pas tari d’éloges : c’est une fille, « espiègle et furieusement amusante » dont « la BD n’est pas pour tous les enfants mais elle est à coup sûr la plus fashion du moment ! »
Quant à l’hebdomadaire conservateur Valeurs actuelles, il résume ainsi le curieux personnage de la petite Lulu :
Une vilaine Lulu pas vraiment comme les autres petites filles et un ouvrage qui flirte souvent avec l’insupportable. Tout, dans le quotidien de cette enfant, n’est prétexte pour l’auteur qu’à la destruction, qu’à l’avilissement et qu’à la corruption des esprits.
Yves Saint Laurent y décrit une petite fille qui lit Play Girl, une revue pour adultes : « Le journal que je préfère » ; qui pratique les sacrifices humains à Vénus pour obtenir les faveurs de son prince charmant. Lulu saoule les nouveau-nés de vin rouge, électrocute les vieillards, euthanasie des malades incurables qui supplient : « Rien qu’un petit jour de plus. »
Pâques offre l’occasion au papa dessinateur d’imaginer des enfants empoisonnés par les oeufs pourris offerts par sa vilaine petite fille : « C’est moi qui suis la cause de tout ce bonheur. » Et de conclure : « À leur enterrement, elle sautait de joie. »
Lulu Saint Laurent ne connaît pas de limite : elle entre au service du pape, l’empoisonne et devient “papesse”. Elle enferme ses camarades dans une cabane qu’elle incendie, « comme c’est amusant ! » Avec son ami « monsieur Totor », ils « rôdent autour des écoles » pour organiser la traite des Blanches à destination du harem de l’émir Abdullah : « Voilà votre futur papa. »
Et puis le papa de Lulu aime bien la représenter dénudée, ici en odalisque, là au Café de Flore, debout sur les tables, jupe relevée, là encore alanguie sur un coussin… Le couturier n’hésite pas à exhiber les frasques et « le tralulu » de sa “fille” à la télévision pour exciter des foules libidineuses et provoquer le suicide d’épouses abandonnées.
Sur le site Amazon, la majorité des acquéreurs authentifiés de la BD ont exprimé leur stupéfaction, voire leur dégoût, pour cet ouvrage : « Le contenu est réellement celui d’un esprit malade ….ce livre BD est vraiment malsain…Quelle mouche à piquer YSL », « Des enfants enlevés, séquestrés puis mutilés, torturés, violés, scalpés, cuits, pendus, vendus…. Des crimes ignobles », « Quelques scènes d’un sadisme insoutenable sur des enfants ou des vieux », « Satanisme au plus haut niveau, livre qui devrait être interdit, étonnant de trouver ça en France dans le rayon enfant en plus », « J’ai détesté ce livre car je l’ai trouvé obscène, complètement farfelu et limite luciférien… », « Le contenu est complètement fou. C’est très violent. Quel est le fil conducteur? Quel est le sens…. brrrr. Âme sensible s’abstenir, même s’il ne s’agit que d’une bande dessinée ».
Yves Saint Laurent avait ajouté cette note ambigüe à destination de ses lecteurs :
Contrairement à ce que pensait Gustave Flaubert lorsqu’il affirmait ‘Madame Bovary c’est moi ! ’, l’auteur tient à préciser qu’il est hors de question qu’il déclare à son tour : ‘La Vilaine Lulu, c’est moi !’ En outre, toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels.
Pour soutenir l’auteur de ces lignes face à la tentative d’intimidation -judiciaire et financière- du multimillionnaire Pierre Bergé, vous pouvez faire un don ci-dessous à Panamza.
Chaque euro servira à couvrir les frais d’avocat engendrés par la procédure en cours.
Vous pourrez ainsi garantir également la continuité d’un travail d’investigation journalistique qui a déjà fait ses preuves et que certains -personnalités politiques, médiatiques ou culturelles, haut-fonctionnaires, militants associatifs, lobbies exposés par mes enquêtes- voudraient voir s’estomper, faute de moyens.
Anomalie. Depuis aujourd’hui, Jeannette Bougrab dirige l’Institut français de Finlande à la suite d’un arrêté discrètement pris, au coeur de l’été, par le Premier ministre.
Le 01.09.2015 à 14h31
Je rejoins en effet l’ambassade de France en Finlande, et serai opérationnelle à Helsinki à partir de fin août, début septembre. Mais pas au poste d’ambassadeur, ni de consul, mais de conseiller culturel : un poste modeste.
C’est en ces termes que Jeannette Bougrab avait annoncé –le 22 avril, au Parisien– sa nouvelle activité professionnelle.
Jeannette Bougrab, le 30 août 2015, à la Forêt des Livres
Trois mois après l’attentat contre Charlie Hebdo, et la polémique immédiate relative à la véracité de son lien conjugal avec Charb, Bougrab -également militante engagée en faveur de Nicolas Sarkozy- était donc brusquement éloignée de la scène nationale.
Pour un « poste modeste » de simple « conseiller culturel » ?
Pas exactement.
Comme l’indique le site de l’Institut français de Finlande, Jeannette Bougrab est désormais « conseillère de coopération et d´action culturelle, directrice de l’Institut français de Finlande ».
Jour de la prise de fonction : ce mardi 1er septembre. C’est l’information contenue dans un arrêté publié le 9 août au Journal officiel et pris -deux jours plus tôt- par le Premier ministre.
Bougrab remplace ainsi Georges Diener, historien doté -contrairement à la conseillère d’État- d’une longue expérience en matière de francophonie culturelle.
Elle travaillera en collaboration avec Serge Mostura, ambassadeur de France en Finlande et ex-chef de cabinet du ministre socialiste Hubert Védrine.
Mise en quarantaine
Double interrogation élémentaire qui n’a pourtant jamais été formulée par les nombreux journalistes qui ont rencontré Bougrab depuis les quatre derniers mois, à l’occasion de la promotion de son livre Maudites :
* Quelles sont exactement les compétences de cette juriste -en matière de francophonie culturelle- pour mériter un tel poste rémunéré avec l’argent public ?
* Avait-elle demandé à être détachée provisoirement du Conseil d’État pour un occupation quelconque à l’étranger ou s’agit-il là d’un moyen contraignant et détourné pour l’éloigner de la scène publique?
Une chose est certaine : comme les lecteurs de Panamza s’en souviennent, Jeannette Bougrab constitue le maillon faible de la version officielle relative à l’attentat contre Charlie Hebdo. Exilée à Helsinki pour deux années (au moins), elle ne risquera pas de commettre de nouvelles bévues aussitôt médiatisées à propos de sa relation trouble avec le directeur assassiné du journal. D’ici son éventuel retour dans le microcosme parisien de la vie politique, l’élection présidentielle de 2017 -qui pourrait mettre son ami Manuel Valls sur orbite- aura déjà eu lieu.
HICHAM HAMZA
Bonus
* Pour en savoir plus sur les zones d’ombre de l’afffaire Charlie, consultez le dossier de Panamza {http://www.panamza.com/charlies}
* Pour connaître davantage l’idéologie et les réseaux de Jeannette Bougrab ainsi que son implication indirecte dans les dernières heures d’un policier retrouvé « suicidé », cliquez sur les liens suivants :
Jeannette Bougrab: « La laïcité est émancipatrice pour les femmes d’origine arabe » (11.07.13)
Mystérieux « suicide » du policier chargé de la connexion Charlie Hebdo-Jeannette Bougrab (16.01.15)
Affaire Charlie : la famille du policier « suicidé » n’aura pas accès au rapport d’autopsie (25.01.15)
Charlie Hebdo : 4,2 millions d’euros seront versés aux familles des victimes. Y compris Jeannette Bougrab? (26.02.15)
Affaire Charlie : le mépris de Bernard Cazeneuve pour la famille du policier « suicidé » (13.03.15)
La « prime Charlie »? Jeannette Bougrab récompensée par un groupe US ultra-sioniste et antimusulman (27.03.15)
Bougrab chez Ruquier : les 9 questions dérangeants qui furent passées sous silence (17.05.15)
Valls-Habib-Goldnadel-Bougrab : la connexion israélienne de Charlie Hebdo (21.05.15)
Charlie Hebdo : le mensonge-clé de Jeannette Bougrab (08.06.15)
Affaire Charlie Hebdo : Bougrab accusée d’avoir cambriolé Charb (25.06.15)
Les islamonomaniaques sont de retour avec « Touche pas à mon église! » de Valeurs actuelles (08.07.15)
Affaire Charlie : Bougrab se met en scène devant la tombe de Charb (23.07.15)
INFO PANAMZA. Selon Caroline Fourest, un terroriste aurait promis d'épargner une journaliste en échange d'une "récitation du Coran" : l'intéressée dément formellement.
Le 13.01.2015 à 10h56
Dans la nuit de lundi à mardi, le site de l'hebdomadaire Marianne a mis en ligne un entretien avec Sigolène Vinson, survivante de l'équipe de Charlie Hebdo.
Mercredi 7 janvier, quelques heures après l'attentat qui a frappé le journal satirique, Caroline Fourest avait tenu les propos suivants sur France 2.
À une heure de grande écoute et sur le service public audiovisuel, l'éditorialiste controversée (qui a intenté un procès contre l'auteur de ces lignes, ndlr) avait catégoriquement affirmé que le terroriste aurait demandé à la rescapée de "réciter le Coran" afin de demeurer vivante.
C'est faux selon Vinson :
Assurant rapporter à son tour les mots de la jeune quadragénaire, l’essayiste Caroline Fourest, ex-collaboratrice de Charlie Hebdo, ajoutait : « Il lui a dit : “Récite le Coran, et je t’épargne” ». Ce que réfute aujourd’hui Sigolène Vinson. Tout comme l’injonction à porter le voile : « Je vois mal comment j’aurais pu réciter le Coran… ».
Le seul moment de doute exprimé à l'antenne par Fourest avait curieusement porté sur la couleur des yeux de l'assaillant.
Détail à souligner : d'après Vinson, l'assassin a bien évoqué le Coran mais pas dans les termes tenus par Fourest. Il n'est plus question d'une injonction immédiate (récitation contre vie sauve) mais d'un encouragement pour l'avenir.
« Il a continué : “Ce n’est pas bien ce que tu fais.” Dans l’instant, je me suis demandé : “Mais pourquoi est-ce qu’il me dit ça ? C’est très bien, ce que je fais.” Ensuite, il a poursuivi : “Ce n’est pas bien, mais je ne vais pas te tuer. Puisque je t’épargne, tu pourras lire le Coran”.
Cette différence n'atténue en rien le caractère sinistre de leur échange: elle confirme simplement l'inclinaison de Fourest aux approximations factuelles.
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Complément d'info : le dossier PANAMZA sur l'attentat de Charlie Hebdo
Attentat contre Charlie Hebdo: condoléances, prudence et vigilance (07.01.15)
Attentat contre Charlie Hebdo : le mystère du jour (07.01.15)
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Pourquoi le gouvernement avait-il retiré une voiture de police stationnée devant Charlie Hebdo? (09.01.15)
La France menacée par Al-Qaïda? L’info a été "révélée" par une propagandiste israélo-américaine (10.01.15)
La surveillance des frères Kouachi avait cessé en juillet (10.01.15)
INFO PANAMZA. La honte : découvrez en images le stupéfiant discours nationaliste tenu par le Premier ministre israélien en présence de François Hollande et Manuel Valls.
Le 12.01.2015 à 17h04
À l’instar de la plupart de leurs confrères de la presse audiovisuelle, I-Télé et BFM n’ont pas cessé de vous le marteler : la cérémonie organisée -dimanche soir- à la Grande synagogue de Paris (également base de recrutement de l’armée israélienne), était censée rendre hommage aux 17 victimes des dernières opérations terroristes imputées au réseau Kouachi-Coulibaly.
La présence de Netanyahou, l’homme qui a demandé (ordonné?) à la France de combattre « les forces de l’islam » (comme l’a révélé Panamza et relayé, sans citer ses sources, L’Obs), n’était pas souhaitée à la « marche républicaine » si l’on en croit plusieurs médias israéliens. François Hollande y aurait été défavorable avant de s’incliner face à l’insistance du dirigeant nationaliste.
Ce léger accroc n’a cependant pas empêché les deux hommes de se retrouver dimanche soir à la synagogue.
À vous d’apprécier en images la réalité des faits.
Voici l’arrivée houleuse (au regard de la tension visible entre gardes du corps français et israéliens) de Netanyahou et Hollande suivi du discours du Premier ministre, traduit en direct par un homme censé représenter la nation française : le député UDI Meyer Habib.
Extraits (10′) :
Intégralité (27′) :
Quatre détails à souligner :
* Manuel Valls, empli de gravité sur les plateaux télé, n’a pourtant pas hésité à parader et fanfaronner comme l’illustre cette séquence : face à la foule, l’homme lève les poings à l’image d’un sportif victorieux.
* Netanyahou est un récidiviste en matière de détournement politique d’une cérémonie aux victimes. La dernière fois, c’était également en présence du chef de l’Etat français et en période électorale -vu d’Israël- lors de l’hommage dédié aux morts de l’affaire Merah.
* Dans une vidéo officielle digne du Parrain de Coppola, Netanyahou a salué -ce lundi matin, dans une pièce tamisée aux rideaux fermés- les dirigeants de la communauté juive française et encouragé fermement l’Europe à tirer une leçon des derniers évènements en soutenant davantage sa propre lutte dite « antiterroriste » (sous-titres en anglais disponibles sur le carré rayé).
* Dans son discours intégral, le Premier ministre israélien évoque avec gravité (à 17′) les « Tours jumelles » du 11-Septembre, ce qui ne manque pas de piquant au regard de l’incident relatif à ces agents secrets israéliens, rattachés à un patron du Mossad nommé en 1998 par Netanyahou (Ephraïm Halevy) arrêtés par la police américaine pour avoir manifesté une joie étrange dès l’impact du premier avion dans le World Trade Center.
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Complément d’info : le dossier PANAMZA sur l’attentat de Charlie Hebdo
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Petit message à l’attention des experts du djihadisme et des chasseurs de « complotistes » (12.01.15)
INFO PANAMZA. Vendredi, le Premier ministre israélien a désigné à l’ambassadeur de France l’ennemi commun : « les forces de l’islam à travers le monde ».
Le 11.01.2015 à 18h11
Le propos a figé le regard de l’ambassadeur.
Vendredi après-midi, Benyamin Netanyahou, Premier ministre israélien, a réitéré son message de condoléances à l’attention du peuple français. Son interlocuteur : Patrick Maisonnave, ambassadeur de France en Israël.
Détail révélateur : la presse israélienne a rapporté le discours de Netanyahou en le modifiant sur un détail précis.
Évoquant la menace terroriste, l’homme issu du Likoud a enjoint la France à combattre « les forces de l’islam » (à 2′).
C’est un combat global. Traduire en justice les meurtriers de Paris est juste le commencement.
Cela doit être suivi d’un large assault sur les forces de l’islam à travers le monde.
C’est la bataille de tout un chacun.
Un adjectif (qui ne figurait pas dans cette déclaration, comme l’atteste la vidéo -à 2′) a été ajouté au mot « islam » par plusieurs medias israéliens : celui de « radical ». Une entourloupe également effectuée par LE quotidien mondial de référence : le New York Times.
Cette omission du mot « radical » a provoqué un regard interloqué chez l’ambassadeur qui -démarche rare pour cet homme particulièrement obséquieux envers Shimon Peres et visiblement conciliant comme l’illustre la conférence de presse- a pourtant jugé nécessaire de dénoncer les « amalgames » et de préciser que « l’islam, ce n’est pas le djihad ».
Faveur exceptionnelle : ce dimanche soir, Netanyahou, présent à la grande marche de Paris, fera également un discours à la Grande synagogue de la Victoire (également base de recrutement de l’armée israélienne) en présence de François Hollande, Manuel Valls et Nicolas Sarkozy.
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Complément d’info : le dossier PANAMZA sur l’attentat de Charlie Hebdo
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La France menacée par Al-Qaïda? L’info a été « révélée » par une propagandiste israélo-américaine (10.01.15)
Grande marche à Paris : l’hypocrisie de Reporters sans frontières (11.01.15)
4 heures avant l’attentat, la police et « une personne suspecte » étaient présentes devant Charlie Hebdo (11.01.15)
INFO PANAMZA. Peu de temps avant l’attentat du 7 janvier, Valls et Cazeneuve avaient allégé la protection policière de Charlie Hebdo en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda.
Automne 2014 : le ministère de l’Intérieur -qui chapeaute le Service de la protection (en charge des personnalités)- a mis fin à la présence permanente de deux policiers devant l’entrée du siège de Charlie Hebdo, situé –depuis le 1er juillet– au numéro 10 de la rue Nicolas Appert. Une photographie de Google Maps, datant du mois d’août, a capturé incidemment une image de la voiture de police.
Interviewée par Ruth Elkrief, elle a relaté ce qu’elle a vécu depuis l’annonce du drame.
À 1’22, elle évoqua un détail troublant :
On avait supprimé une protection statique devant Charlie Hebdo qui aurait peut-être pu éviter le drame.
Vendredi 9 janvier, dans la matinale d’Europe 1, Laurent Léger, journaliste d’investigation de Charlie Hebdo et rescapé de l’attaque, a été interrogé à ce sujet par Thomas Sotto.
Question de Sotto (qui confond par ailleurs deux interventions de Bougrab, l’une sur BFM TV, l’autre sur TF1):
Jeannette Bougrab a déclaré hier soir, lors du 20h de TF1, que le dispositif de sécurité de Charlie Hebdo avait été allégé depuis quelques semaines. Vous l’aviez constaté, ça, ou pas?
La réponse de Léger (audible à partir de 5’55) :
Effectivement, y avait plus la voiture statique en faction devant le journal.
Le journaliste ajouta aussitot son sentiment personnel : d’après lui, une telle présence n’aurait pas empêché les assaillants d’accomplir leur dessein.
Pas si sûr : deux policiers armés et prêts à réagir en cas d’arrivée de deux hommes cagoulés auraient pu retarder leur opération, voire la saborder. A fortiori s’ils étaient en contact audio avec le policier Franck Brinsolaro, présent dans la salle de rédaction aux côtés de Charb et tué lors de la fusillade.
Brinsolaro : un homme croisé sur le même trottoir, l’automne dernier, par l’auteur de ces lignes -de passage dans le quartier du journal pour un déjeuner parisien. En compagnie d’un collègue, il escortait le tandem Charb-Léger, deux mètres en arrière, dans la rue Amelot. En tant qu’ancien lecteur de longue date de Charlie et ex-collègue de Léger au sein du média en ligne Bakchich, j’avais immédiatement reconnu les deux journalistes.
Comme les policiers en faction devant le siège du journal, Brinsolaro faisait partie du Service de la protection (ex-SPHP), dirigé par Frédéric Auréal.
Ce dernier, nommé en juillet 2012 par Manuel Valls (alors ministre de l’Intérieur), a été récemment promu (par décret en date du 22 décembre) en devenant « inspecteur général des services actifs de la police nationale ».
Double particularité de l’homme -réputé proche de Valls- à la tête du SDLP :
* L’hostilité exprimée à son endroit par ses subordonnés, agacés par des missions de protection jugées excessives ou inutiles (tel le cas emblématique du député franco-israélien Meyer Habib).
Résumons : en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda et proférées en mai 2013, la protection policière de Charlie Hebdo -instaurée fin 2011- a été allégée, un an et demi plus tard, sur un point névralgique : l’entrée de l’immeuble dans lequel l’équipe était installée au 2ème étage, derrière une porte blindée et verrouillée par un code. Responsables de cette décision aux conséquences tragiques dans les semaines qui ont suivi : Manuel Valls (Premier ministre), Bernard Cazeneuve (ministre de l’Intérieur) et Frédéric Auréal (patron du SDLP).
Reste à savoir si les médias traditionnels, désormais hypnotisés à l’unisson par la « grave crise que traverse la France depuis trois jours » (pour reprendre les termes de Laurence Ferrari d’I-Télé) interpelleront les trois hommes concernés pour leur demander des comptes ou continueront de réaliser le mauvais remake en cours de « l’union sacrée » des Américains au lendemain de la mystification du 11-Septembre.
INFO PANAMZA. Une voiture de police et un mystérieux individu étaient devant l’entrée de l’immeuble de Charlie Hebdo, très tôt dans la matinée au cours de laquelle allait se dérouler l’attaque.
Le 11.01.2015 à 14h04
Dans le flot incessant d’informations survenues depuis mercredi 7 janvier, jour de l’attentat commis au siège de Charlie Hebdo, le plus difficile consiste à hiérarchiser et séparer les réactions émotionnelles des faits bruts.
Une heure seulement après la tuerie, France Info a collecté plusieurs témoignages de témoins ou voisins des journalistes assassinés. Sur le site de la radio publique, l’un de ces témoignages, d’une durée de 1’08, est intitulé « Ce qui a été dit dans l’immeuble, c’est ‘on va venger le prophète' » (Un voisin de la fusillade) ».
La rédaction de France Info a ainsi mis en exergue ce qu’elle juge être l’élément d’information le plus important rapporté par ce témoin travaillant dans l’immeuble : le fait qu’il ait entendu (ou qu’on lui ait rapporté) la déclaration prononcée par l’un des terroristes et relative à une « vengeance du prophète ».
Problème : une autre partie de son propos -davantage intéressante à creuser- n’a pas été mise en avant par la radio.
* Selon cet homme, « une voiture de police » était présente à son arrivée, vers 7h30. Détail curieux mais pas extraordinaire, a priori : l’équipe de Charlie était réputée être protégée par la police, bien que deux proches du directeur -sa compagne Jeannette Bougrab et son collègue Laurent Léger- aient affirmé que la protection statique policière face à l’immeuble avait été récemment retirée.
* En revanche, le témoin sollicité par France Info précise qu’il a également observé la présence, devant l’entrée de l’immeuble et en cette heure matinale (7h30), d’un individu, outre les policiers, qu’il a lui-même jugé « suspect ».
Photographie de Google Maps -datée d’août 2014- de l’entrée de l’immeuble de Charlie Hebdo
Son témoignage, ignoré par la presse traditionnelle, soulève pourtant trois questions fondamentales :
– Pourquoi la police était-elle présente face à l’immeuble à 7h30 et absente durant la tuerie survenue vers 11h30?
– Pourquoi la police, qui avait cessé de surveiller l’entrée depuis plusieurs semaines/mois, s’était-elle manifestée ce jour-là?
– Quelle était la motivation de cet inconnu, présenté comme suspect, pour attendre, face à une voiture de police, devant l’entrée d’un immeuble dans lequel se déroulera un attentat quatre heures plus tard?
Chose curieuse : aucune mention de cette triple anomalie (la présence matinale d’une « personne suspecte » au vu de policiers inhabituellement en faction) n’a été faite par François Molins, procureur de la République de Paris (proche de la mouvance sioniste), lors de ses conférences de presse.
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